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Au cours des années 1898 à 1950, l’industrie du taxi a connu de nombreux changements et a été impactée par les guerres mondiales. En 1898, les premiers véhicules de taxi à Paris étaient des fiacres électriques. En 1905, la « Compagnie française des automobiles de places » a été créée, qui plus tard deviendrait la G7. En 1910, une réglementation des tarifs a été mise en place et en 1911, il y a eu la première grève des chauffeurs de taxi. En 1913, la Compagnie française des automobiles de places a été rachetée par la banque Mirabaud & Cie et est devenue la G7. En 1914, une réquisition de 1 100 taxis parisiens a été décidée pour transporter des troupes durant la Première Guerre mondiale. En 1920, les taxis Citroën sont devenus un concurrent sérieux de la G7. En 1927, Renault a racheté la G7. En 1930, le chômage a explosé en raison de la Grande Dépression et de nombreuses personnes ont commencé à travailler comme chauffeurs de taxi. En 1932, les taxis Renault ont fait leur apparition sur le marché. Pendant la Seconde Guerre mondiale, de 1939 à 1945, les taxis ont été utilisés pour transporter des troupes et du matériel. En 1950, il y avait 20 000 taxis à Paris.
En 1951, les premières bornes d’appel de taxis ont été mises en service. En 1956, le nombre de taxis a atteint 12 500 et le premier standard radio a été mis en place. En 1960, les clients pouvaient demander une facture au chauffeur, appelée « bulletin de voiture ». En 1962, la préfecture de police a commencé à délivrer des licences aux rapatriés de la guerre d’Algérie et a également pris en charge l’examen des chauffeurs et le contrôle technique des véhicules. Depuis cette année, les taxis peuvent emprunter les couloirs de bus. En 1964, le lumineux du taxi doit indiquer les tarifs appliqués durant la course. En 1966, l’administration a permis aux artisans de céder leur autorisation à un successeur, ce qui a suscité de nombreuses controverses dans la profession. En 1968, les « événements de Mai 68 » ont entraîné des revendications sociales et les tarifs ont été révisés pour la première fois depuis plusieurs années. Les chauffeurs ont eu le droit de faire une pause et le doublage a été autorisé pour les sociétés de taxis. La mesure phare a été la détaxe sur le carburant accordée aux taxis. En 1974, le prix moyen de la licence était de 35 000 francs, soit un peu plus de 5 000 euros, sur le marché privé de revente entre chauffeurs.
En 2001, les taxis ont dû être équipés d’un badge pour accéder aux terminaux 1 et 3 de l’aéroport Roissy et y charger des clients, où le temps d’attente était en moyenne de 2 heures et demie. Les premières motos de taxi, considérées comme des concurrentes déloyales, ont fait leur apparition. En 2002, il y a eu une nouvelle pénurie de chauffeurs de taxi. Certaines sociétés ont organisé des campagnes de recrutement et ont passé par l’Agence nationale pour l’emploi pour trouver des candidats. En 2003, la licence de taxi coûtait plus de neuf fois sa valeur de 1990, soit environ 110 000 euros, et il fallait 30 000 euros pour devenir actionnaire. En 2005, l’expansion des navettes, qui sont basées sur la Loi d’orientation des transports intérieurs, a commencé. Pour la première fois, les sociétés de location de taxis ont des listes d’attente de locataires. En 2007, la détaxe sur le carburant a été supprimée et le système de vélos en libre-service Vélib’ a été mis en place. En 2008, le rapport Attali a proposé notamment la déréglementation de la profession de taxi et l’abandon des licences. Les chauffeurs de taxi ont organisé plusieurs manifestations en France et ont obtenu une audience auprès de Nicolas Sarkozy. Le gouvernement a finalement décidé d’enterrer les propositions de Jacques Attali. Les taxis ont également obtenu une revalorisation tarifaire comprise entre 3 et 4% et un système de compensation de la détaxe sur le carburant. En 2009, le prix de la licence de taxi a dépassé pour la première fois la barre des 200 000 euros, soit 40 fois sa valeur en 1973.
Le décret de modernisation du tourisme de 2010 a permis l’expansion des voitures de transport avec chauffeur (VTC) en France. En 2011, l’entreprise Uber a lancé ses services à Paris, suivie par d’autres sociétés de VTC comme Allocab, Les voitures jaunes, Le Cab, Snapcar, et chauffeur-privé. Cette nouvelle profession a été réglementée par l’État en avril 2011. Les taxis français, qui considéraient leur activité menacée par les VTC, se sont mobilisés plusieurs fois en janvier 2013 et ont provoqué des perturbations de la circulation dans plusieurs grandes villes, notamment à Paris, Marseille et Lyon. En octobre 2013, le gouvernement a annoncé l’instauration de plusieurs mesures pour calmer les conflits entre VTC et taxis, comme l’obligation d’un délai de 15 minutes entre la réservation et la prise en charge du client par les VTC, mais cette mesure a été suspendue en février 2014. Pour faire face à la pénurie de taxis aux heures de pointe, le gouvernement a décidé d’accepter la création de 1 000 plaques supplémentaires à Paris et d’imposer aux chauffeurs de travailler durant ces heures. En 2018, le gouvernement a voté une loi pour encadrer l’activité des VTC et renforcer la réglementation des taxis.